José correa, peintre, illustrateur, affichiste renommé, est invité, en 2010, à oulan-bator par christina noble une généreuse irlandaise créatrice d’une fondation qui aide les enfants de la rue en mongolie et au viêt-nam. il y va. après avoir découvert le travail de la fondation, il décide de s’embarquer pour un voyage dans la steppe. destination : l’inconnu. munie d’un carnet de croquis et de quelques crayons, il va à la rencontre des grands espaces peuplés de chevaux, de troupeaux, de yourtes et d’histoires anciennes où gengis khan côtoie coca-cola. il croque les paysages, les hommes, les femmes, les enfants, les animaux et les nuages. il dessine l’horizon mongol. et il observe la vie des gens simple, il note, il écrit, il consigne. des années après, il retrouve ses carnets et décide de tout reprendre. de tout redessiner, de tout repeindre et de tout raconter. il livre un carnet de voyage sensible et simple. il n’a pas la prétention de tout dire ni de tout expliquer. il retranscrit ses émotions et ses souvenirs pour embarquer le lecteur dans une balade poétique, une errance tranquille.