Tout le monde sent bien que « ça ne peut plus durer ». certes, mais quoi donc ? ce n’est pas un hasard si le discours bourgeois sous toutes ses formes s’évertue à cacher les
liens objectifs de la production capitaliste. car ce qui ne peut plus durer, c’est bien le capitalisme. mode de production à bout de souffle qui a conquis l’ensemble de la production planétaire lors du xxe siècle, développant par le même coup des liens inédits entre tous les prolétaires. ces liens, par le « marché », sont utilisés par la bourgeoisie pour prospérer encore et augmenter le taux d’exploitation, notamment par le discours xénophobe. mais ces mêmes liens peuvent également servir le prolétariat s’il en prend conscience par une analyse concrète, c’est-à-dire comme résultat de l’exploitation d’une classe, le prolétariat, par une autre (la bourgeoisie). tout discours qui vise à cacher ces liens est nécessairement réactionnaire.
il s’agira donc d’étudier ici, statistiques à l’appui, les conditions générales de l’impérialisme en france, pour ensuite décrire les particularités des différents niveaux de vie des prolétaires afin d’établir enfin leur solidarité objective. seront aussi analysées différentes formes détournées de l’exploitation capitaliste qui regroupent tout autant les contorsions de la bourgeoisie pour augmenter le taux d’exploitation de ce pays frondeur (inflation, immobilier, dépenses contraintes) que les éléments, en dehors de la production directe, que le capitalisme développe pour persévérer dans son être (circuit financier, appareil d’état).
une alternative se présente alors potentiellement : le fascisme ou le communisme. nous gageons que le prolétariat français, prométhéen, restera fidèle à son essence et achèvera la république jusqu’à sa forme sociale, jusqu’à la commune, jusqu’au communisme.
liens objectifs de la production capitaliste. car ce qui ne peut plus durer, c’est bien le capitalisme. mode de production à bout de souffle qui a conquis l’ensemble de la production planétaire lors du xxe siècle, développant par le même coup des liens inédits entre tous les prolétaires. ces liens, par le « marché », sont utilisés par la bourgeoisie pour prospérer encore et augmenter le taux d’exploitation, notamment par le discours xénophobe. mais ces mêmes liens peuvent également servir le prolétariat s’il en prend conscience par une analyse concrète, c’est-à-dire comme résultat de l’exploitation d’une classe, le prolétariat, par une autre (la bourgeoisie). tout discours qui vise à cacher ces liens est nécessairement réactionnaire.
il s’agira donc d’étudier ici, statistiques à l’appui, les conditions générales de l’impérialisme en france, pour ensuite décrire les particularités des différents niveaux de vie des prolétaires afin d’établir enfin leur solidarité objective. seront aussi analysées différentes formes détournées de l’exploitation capitaliste qui regroupent tout autant les contorsions de la bourgeoisie pour augmenter le taux d’exploitation de ce pays frondeur (inflation, immobilier, dépenses contraintes) que les éléments, en dehors de la production directe, que le capitalisme développe pour persévérer dans son être (circuit financier, appareil d’état).
une alternative se présente alors potentiellement : le fascisme ou le communisme. nous gageons que le prolétariat français, prométhéen, restera fidèle à son essence et achèvera la république jusqu’à sa forme sociale, jusqu’à la commune, jusqu’au communisme.
Disponible sous 3/4 jours
EAN
9782376072287
Éditeur
DELGA
Collection
Economie
Date de parution
25/02/2022
Format
10 mm x 155 mm x 210 mm
Nombre de pages
144
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